Comment Volvo est pionnière dans la sécurité des femmes lors d’accidents ?

Volvo Cars Saint-Léonard
Comment Volvo est pionnière dans la sécurité des femmes lors d’accidents ?

Saviez-vous que les femmes avaient 47% plus de chance d’être blessées au volant d’un véhicule et 17% de risque en plus de mourir dans un accident similaire ?


Moins souvent impliquées dans les accidents, les femmes n’en représentent pas moins une part plus élevée des victimes de la route. La cause : des véhicules qui ne sont pas adaptés à la morphologie féminine.


Dans cet article, nous écrivons sur les lacunes des crash-test depuis sa création et comment une marque comme Volvo a ajouté plus d’inclusion pour la sécurité des femmes lors d’accidents.



L’histoire des crash test automobile au Canada

L’histoire des crash tests au Canada a suivi une évolution parallèle à celle des États-Unis, tout en adoptant ses propres normes de sécurité. 


Avant les années 1960, les tests de collision étaient rares et menés principalement par les constructeurs eux-mêmes. Toutefois, des révolutions sécuritaires apparaissent déjà, comme la ceinture de sécurité trois points de Volvo, qui sera plus tard intégrée aux crash tests.


Cependant, avec l’augmentation du nombre de véhicules sur les routes canadiennes et la prise de conscience des dangers liés aux accidents, le gouvernement fédéral a instauré des réglementations plus strictes. 





En 1971, Transports Canada met en place le Règlement sur la sécurité des véhicules automobiles (RSVA), imposant des normes pour les ceintures de sécurité, les pare-chocs, la résistance aux impacts frontaux ou encore la solidité de l’ancrage des sièges lors de collisions. 


Mais la réelle évolution arrive en 1972 avec le développement de mannequin dit “dutch man”  qui simule le corps humain lors des crash test. Le but : collecter des données plus précises sur les effets d’un impact pour l’humain.


Au fil des années, l’utilisation du “dutch man” se démocratise pour toutes les marques automobiles au point qu’il devient toujours plus sophistiqué. À ce stade, les conséquences d’un accident sur le corps n’ont plus de secrets.


Enfin, peut-être pour les hommes d'1,70 mètre et 76 kilos….



Les failles des crash test automobile 

Dans son ouvrage “Invisible Women, Exposing Data Bias in a World Designed for Men”, la journaliste britannique Caroline Criado-Perez démontre que certaines conceptions d’objets pénalisent davantage les femmes que l’homme.


Dans l’automobile, cette faille se trouve dans les crash test qui ne prennent pas suffisamment en compte la morphologie d’une femme. Pourtant, si on regarde les évolutions de crash test, on peut constater une adoption croissante de tests de choc impliquant des mannequins féminins et enfants pour mieux refléter la diversité des passagers. 





Mais des lacunes persistent. Tout d’abord, le mannequin est pour la plupart du temps utilisé que sur le siège passager, ce qui ne permet pas de savoir la manière dont une conductrice serait touchée. Ensuite, les femmes ne sont souvent pas positionnées de la même manière en raison de leur taille, en moyenne plus petite. 


“C'est juste un mannequin masculin réduit. […] Mais les femmes ne sont pas des hommes réduits. Nous avons une distribution de masse musculaire différente […] Nous avons une densité osseuse inférieure. Il existe des différences dans l'espacement des vertèbres. Même notre corps est différent. Et ces différences sont toutes cruciales en ce qui concerne le taux de blessures dans les accidents de la route.»


https://www.liberation.fr/planete/2019/02/28/les-femmes-dangereusement-oubliees-dans-la-conception-des-objets-du-quotidien_1712137/


De ce fait, et malgré des avancées dans la sécurité de l’humain, les femmes ont 47% de risques supplémentaires d'être sérieusement blessées, 71% d'être légèrement blessées et 17% plus de mourir par rapport à un homme dans un même accident.


Mais chez Volvo, nous avions pris des mesures bien avant la publication de cet ouvrage, avec les travaux d’une chercheuse suédoise, Astrid Linder.



La sécurité des femmes aux volants : une priorité chez Volvo

Consciente que les femmes couraient un risque plus élevé que les hommes pour les blessures au cou (comme le coup du lapin), Astrid Linder, ingénieure à l’Institut suédois de recherche sur la sécurité des transports, a développé un mannequin 100% féminin au nom de code SET 50F.


Le mannequin mesure 1,62 m pour 62kg, avec des épaules plus étroites et des hanches plus larges que celles d'un homme. L’objectif principal : déterminer pourquoi les femmes courent plus de risques que les hommes en cas d’accident de la route. 






Bien que la législation actuelle n’impose que des mannequins aux proportions masculines, Volvo inclut désormais les femmes dans ses crash test afin de proposer une sécurité inclusive dans le but d’atteindre son objectif “zéro mort” au volant d’une Volvo.



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